« Mettre en place une démarche de gouvernance partagée de l'entreprise » : différence entre les versions
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* | *Une structure : celle-ci est souvent organisée en cercles reliés entre eux. | ||
On peut également s’intéresser aux concepts suivants : sociocratie, | On peut également s’intéresser aux concepts suivants : sociocratie, holacratie et l’entreprise libérée. | ||
A noter que la manière de mettre en place la gouvernance partagée est importante. Disons-le clairement : la gouvernance partagée peut être un danger pour votre organisation si elle est mal mise en place. Tous les individus ne sont pas spontanément prêts à ce type d'organisation, et certains n'auront jamais la maturité émotionnelle nécessaire à une relation plus équilibrée entre les parties prenantes. | |||
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Version actuelle datée du 25 juillet 2023 à 15:42
Définition[modifier | modifier le wikicode]
La gouvernance est l'action de gouverner, gérer ou administrer. Le terme "partagé" quant à lui renvoie au fait de répartir l'exercice du pouvoir parmi plusieurs individus. Ainsi tous les membres de l’organisation ont la même part de pouvoir et de responsabilité. On parlera alors de co-responsabilité.
Question d'introspection[modifier | modifier le wikicode]
Avez-vous mis en place une gouvernance partagée au sein de votre entreprise (sociocratie, entreprise libérée, ...) ?
Pour aller + loin[modifier | modifier le wikicode]
Selon Bertrand Michotte voici les méthodes et outils qui constituent la gouvernance partagée :
- Un “Nous” fort : le collectif doit être soudé afin de rendre prééminentes la confiance et la collaboration.
- Des individus souverains : chacun des individus constituant le collectif doit être assuré de sa légitimité à affirmer son libre-arbitre. Ceci implique que chacun se sente libre et légitime de s'exprimer, en particulier quand il est en désaccord, fut-il minoritaire.
- Des rôles clairs et bien délimités : la gouvernance partagée n'implique pas que le collectif décide tout. Des délégations sont mises en place et elles sont assumées par les individus ou les sous-groupes qui en ont la charge.
- Des process qui neutralisent les égos : l'hubris, orgueil démesuré au sens donné par Caillé dans le second manifeste du convivialisme, doit être neutralisé.
- Un pilotage par tensions : ce sont les tensions qui signent des conflits de logique qu'il importe de lever.
- Une structure : celle-ci est souvent organisée en cercles reliés entre eux.
On peut également s’intéresser aux concepts suivants : sociocratie, holacratie et l’entreprise libérée.
A noter que la manière de mettre en place la gouvernance partagée est importante. Disons-le clairement : la gouvernance partagée peut être un danger pour votre organisation si elle est mal mise en place. Tous les individus ne sont pas spontanément prêts à ce type d'organisation, et certains n'auront jamais la maturité émotionnelle nécessaire à une relation plus équilibrée entre les parties prenantes.
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